La résidence des Longues-Raies est bâtie sous la forme juridique de la copropriété. Elle témoigne de l'urbanisme des années 1960 par sa localisation en périphérie de la commune, et par l'utilisation d'un toponyme rural, Les Longues-Raies, allusion à la configuration spécifique des parcelles en forme de lanières. Les champs voisins restent cultivés en blé ou en maïs. Un petit noyau commercial alimente le quartier, qui reste composé, en majeure partie, de pavillons individuels.
Domont conserve vingt-cinq de ces ensembles appelés ' cours communes ' dans le pays. Ce type d'habitat, aux maisons serrées les unes contre les autres, se multiplie au XIXe siècle dans de nombreuses communes rurales de la plaine de France. Destiné aux ouvriers agricoles, aux bûcherons employés dans les forêts voisines et aux artisans, il est adapté aux activités viticoles et maraichères. Il en est résulté un tissu bâti plus dense et d'une grande complexité, tant au niveau des parcelles que du droit de propriété et de jouissance. L'impasse du Pied-de-fer a la particularité d'être en cul de sac et étroite.
La Villa Canterbury située un peu à l'écart de la rue principale, à mi-chemin de la gare et du Haut-Domont, cette villa en briques est sans doute la plus imposante de la commune. Elle date du XIX-XXème siècle.
L’église Sainte-Madeleine
Construite par les bénédictins entre 1098 et 1105, l'église est caractéristique de l'art roman qui a imprégné les petites communes rurales de la plaine de France. Le chevet témoigne des phases successives de construction, avec au nord une chapelle romane et au sud une chapelle gothique. Le clocher et les chapelles menacent ruine dès 1782, mais c'est seulement entre 1844 et 1855 que sont rebâtis le clocher et la chapelle Sainte-Marie-Madeleine.
Construite par les bénédictins entre 1098 et 1105, l'église est caractéristique de l'art roman qui a imprégné les petites communes rurales de la plaine de France. Le chevet témoigne des phases successives de construction, avec au nord une chapelle romane et au sud une chapelle gothique. Le clocher et les chapelles menacent ruine dès 1782, mais c'est seulement entre 1844 et 1855 que sont rebâtis le clocher et la chapelle Sainte-Marie-Madeleine.
Domont conserve vingt-cinq de ces ensembles appelés ' cours communes ' dans le pays. Ce type d'habitat, aux maisons serrées les unes contre les autres, se multiplie au XIXe siècle dans de nombreuses communes rurales de la plaine de France. Destiné aux ouvriers agricoles, aux bûcherons employés dans les forêts voisines et aux artisans, il est adapté aux activités viticoles et maraichères. Il en est résulté un tissu bâti plus dense et d'une grande complexité, tant au niveau des parcelles que du droit de propriété et de jouissance. L'impasse du Pied-de-fer a la particularité d'être en cul de sac et étroite.
Le château du Prieuré a été construit pour un Domontois, Sigismond Glandaz (1792-1877), premier président à la Cour de cassation de Paris, président de la Chambre des avoués. Le quartier est alors très peu urbanisé. La façade en brique parait sévère par rapport à l'éclectisme architectural de l'époque, mais elle affirme une famille qui donne plusieurs maires entre 1892 et 1902. La municipalité achète la propriété en 1946 et y installe la mairie en 1952.
Cette chapelle témoigne de la pénétration religieuse dans les nouveaux quartiers des lotissements et des HLM du Bas-Domont, en partie liée à la présence d'une importante colonie portugaise. Une petite salle paroissiale a été ajoutée à côté. L'alternance des horaires de messe entre le Haut et le Bas-Domont est encore un signe de la séparation des deux parties de la ville. Dans le Haut-Domont une congrégation religieuse est par ailleurs installée dans une ancienne demeure bourgeoise de la fin du XIXe siècle.
Cette chapelle témoigne de la pénétration religieuse dans les nouveaux quartiers des lotissements et des HLM du Bas-Domont, en partie liée à la présence d'une importante colonie portugaise. Une petite salle paroissiale a été ajoutée à côté. L'alternance des horaires de messe entre le Haut et le Bas-Domont est encore un signe de la séparation des deux parties de la ville. Dans le Haut-Domont une congrégation religieuse est par ailleurs installée dans une ancienne demeure bourgeoise de la fin du XIXe siècle.